Shokusai || Wolf's Child - Démone renégate, fille et servante de Fenrir

• Fiche d'Identité

• Nom :: Shokusai.
• Surnom(s) :: Sho.
• Âge :: 19 ans d’apparence, environ 800 ans d’âge réel.
• Statut / Occupation :: Renégate mi-humaine mi-démone louve - Professeur de piano et de japonais le jour, elle est actuellement à la recherche d’un second travail de soir, de préférence dans la restauration pour être serveuse.
• Signes particuliers :: Fille du démon Fenrir et d'une humaine, Sho peut, comme son père, se transformer en loup. Elle maitrise également le feu.

• Physique

Mesurant approximativement un mètre soixante-huit, Shokusai n'a cependant jamais été gênée par sa taille moyenne. C'est une jeune fille élancée, aux jambes longues et fines et au corps mince bien proportionné - malgré une poitrine plutôt généreuse. La démone louve possède un visage fin surmonté de petites joues rondes, qui lui donne un air de gamine innocente. Ce côté enfantin est renforcé par sa peau claire et douce comme de la porcelaine. Ses yeux bridés et noirs lui donne un regard doux et subtil, et ses longs cils, épais et noirs également, ajoutent une pointe de mystère et de mélancolie à ses yeux. Shokusai a un visage discret et angélique, qui inspire la confiance. Ses longs cheveux noirs arrivent jusque dans le bas de son dos, et elle a une frange qui lui retombe dans les yeux.
Elle n’apprécie pas les pantalons tels que les jeans ou les joggings, et privilégie les jupes et shorts longs. Elle ne porte que du noir et du rouge (rarement d’autres couleurs) et adore les corsets et les jupes de style gothiques, ainsi que les traditionnelles rangers et New Rock. Sa tenue favorite reste plus sobre : un débardeur blanc surmonté d’un second haut en cuir noir à bretelle épaisse, et un short allant jusqu’aux dessus des genoux, en cuir noir également. Avec cette tenue, elle porte souvent des converses noires et blanches. Enfin, malgré le temps qui règne à Los Angeles, Shokusai ne se couvre pas vraiment d’avantage, car elle ne craint pas le froid. Cependant, elle porte parfois un long manteau de cuir, mais c'est surtout histoire de ne pas se faire remarquer…

• Caractère, Psychologie

D'un naturel plutôt calme, Shokusai peut cependant se montrer excessivement colérique. La jeune louve n’est pas quelqu'un de très facile à cerner, ayant des tendances lunatiques. Ses humeurs suivent la Lune : la jeune fille se montre de plus en plus joyeuse lorsque celle-ci se remplit, atteignant le meilleur de son caractère et de sa forme lors des pleines lunes ; puis elle devient de plus en plus irritable au fur et à mesure que l'astre lunaire décroit - jusqu'aux périodes de nouvelles lunes où il ne vaut mieux pas l'approcher.
En soit, Shokusai n’est pas une fille cruelle, elle a même plutôt bon cœur et n’hésitera pas à aider quelqu’un d’honnête et fidèle ; seulement la louve ne s’estime pas maître de son destin ou de celui des autres, et préfère s'en remettre totalement à son paternel, auquel elle tient plus que tout… Voir même beaucoup plus que comme un simple père. Elle se montre toujours douce, bonne et incroyablement patiente avec lui. Elle ferait n’importe quoi pour lui, et le considère comme son seul maître, allant jusqu'à refuser tout autre ordre que les siens. A l'inverse, elle fera immédiatement tout ce qu’il lui dira, sans poser la moindre question. C’est ainsi que Shokusai peut ce montrer d’une incroyable cruauté : si c’est son père qui le lui ordonne, elle serait prête à tuer un ami pour lui, et ce sans le moindre remord.
Ce côté « machine de guerre » mis à part, la louve est d’une nature sympathique et pacifique, elle ne cherchera jamais la bagarre mais se défendra si cela est requis. C’est une jeune femme naturelle, pas pudique pour un sou. La belle asiatique adore la neige ainsi la lueur des bougies, surtout en lisant un bon livre ou manga dans un bain bien chaud. Ses mélodies fétiches sont les musiques traditionnelles Japonaise, le son du piano ou encore les hurlements des loups…

• Histoire, Passé

Ma mère n’était qu’une humaine parmi tant d’autres : geisha de la maison des Kamakura dans les années 1200, c’était une femme noble qui avait reçu une éducation exemplaire. Je n’en connais pas les détails, mais je sais que la relation contre nature de mes parents fut brève. J'ignore même si ma mère savait quel démon était mon père…
La seule chose que j’ai su sur ma mère, c’est qu’elle m’avait donné ce prénom : Shokusai, qui signifie « rédemption » , dans l’espoir que je rachète ses pêchés. Fruit de cette courte liaison, je vins au monde en arrachant la vie à ma mère. Dés lors, orpheline et fille unique, c’est mon tuteur qui prit la responsabilité de m’élever. Il était déjà très vieux lorsqu’il me recueuillit, car il avait déjà fait l’éducation de ma mère avant moi. C'était un fidèle combattant, le plus honorable qui soit.

Enfant, il m’enseignait déjà les arts martiaux, et me donnait des entraînements des plus difficiles, sans aucun traitement de faveur de sa part. Sans prendre compte de mon sexe, il me considérait plutôt comme un fils. J’appris donc, à seulement cinq ans, à me servir d'un katana, ainsi que le lancé de shurikens et de kunais. Mais mon tuteur ne privilégiait pas pour autant l’apprentissage du combat au détriment des travaux intellectuels, et il m'inculqua dés mon plus jeune âge les notions de la sagesse et de fidélité, ainsi que l’importance de la connaissance - qu’elle soit historique ou culturelle. En somme, je reçus la même éducation que ma mère, les notions de combat en plus.
A cette époque je ne comprenais pas pourquoi mon tuteur semblait si intéressé et passionné par moi. Malgré mon jeune âge, il me respectait comme si j’étais une princesse, alors que je n’étais qu’une simple fille de geisha, et pire, une orpheline abandonnée qui ignorait tout de son père. Il semblait toujours intrigué par mes performance, par ma capacité à prendre l’apparence d’une louve noir, et par celle de geler (parfois par mégarde) certains objet ou liquides. Cela me semblait pourtant naturel, cette forme de louve : je l’empruntais depuis ma plus tendre enfance, c’était dans mes gênes ; mais il m’avait fait promettre de garder cela secret, et je ne trahis jamais ma parole.

A l’âge de dix ans, je surpassais déjà en force et en vitesse certains de mes camarades masculins, à la plus grande fierté du vieillard qu’était devenu mon tuteur. C’est certainement en sentant sa fin approcher qu’il décida soudainement de me présenter à notre empereur en personne. Je me souviens encore de cette journée : mes longs cheveux noirs étaient strictement tirés en arrière, formant un chignon renfermé dans une coiffe de métal lourd. Cela pesait sur mon crâne et me donnait mal à la tête. Seulement, la douleur était insignifiante : lorsque l’on est éduqué en tant que geisha, on apprend à être souriante et agréable quoi qu’il arrive.
Mon tuteur me conduisit dans une allée infiniment longue formée de samouraïs, puis sur d'immenses marches décorées d’un somptueux tapis rouge. Enfin nous arrivâmes dans une salle, elle aussi démesurément grande. Je laissait mon regard se perdre sur les décorations dorées des murs et du plafond, avant de me reprendre et de regarder droit devant moi, la bouche désormais close. Jusqu’à aujourd'hui, mon tuteur m’avait gardée caché, et voilà qu'il me présentait maintenant à notre respectable empereur ! Celui-ci prononça un serment, et me sacra soldat caché, servante et protectrice de sa fille, ainsi qu’espionne à sa solde.

Je participais à ma première bataille à l’âge de quatorze ans, aux côtés de mon tuteur. Je m'en souviendrais toujours, car c'est au terme de cet affrontement qui dura plusieurs heures que mon tuteur mourut. L’ennemi battait en retraite, et je rejoignais mon tuteur qui venait de s’écrouler d’épuisement. Il me fit promettre d’un jour retrouver la personne auquel je tiendrais le plus, celle pour qui je serais prête à donner ma vie. J’étais sans doute trop jeune pour comprendre, alors je lui jurais de protéger notre empereur jusqu’à ma mort, mais il ne parlait de lui.
Il me prit la main et me dit cette dernière phrase : « Protèges ton honneur et ton maître, et vis pour l’amour que tu lui portera. Mon enfant, soit fière de ce que tu es, soit fière et retrouve cette partie de toi qui t'as tant manqué, et que je n’ai pu remplacer. » Puis il mourut avec l’honneur d’un samouraï, exécutant sous mes yeux une technique dont il m’avait parlé : le seppuku, qui consiste à se donner la mort en retournant son katana contre soi. Une mort digne pour un guerrier honorable.

Les années qui suivirent, je fis mes preuves auprès de notre empereur. Je me montrais digne et fidèle, comme me l’avait appris mon tuteur, et chacune de mes actions était accompagnée par sa voix. Ses paroles couraient continuellement dans mon esprit et me guidaient dans mes actes et mes choix. Je n’oubliais pas sa dernière volonté, et après m’être recueillie à plusieurs reprises sur sa tombe et dans des temples, je compris ce qu’il avait voulu me dire. S’il était trop tard pour que je retrouve ma mère, je devais rattraper ma faute en retrouvant mon père, je devais le protéger et en prendre soin plus que ma propre vie. J’étais dés maintenant déterminée à le retrouver.

Mon statut d'espionne au service de l'empereur me permit de récolter des informations sur mon père disparu sans trop de problèmes. C'est ainsi que je découvris l'existence des « oni » , ou démons. Mon père en était un, et c'est de lui que je tenais mes surprenant pouvoirs de métamorphe.
Combattante efficace et fidèle, je devais bientôt être récompensée par l'empereur pour mes services. Mais au moment de la cérémonie, des espions ennemis - vingt en tout - s'infiltrèrent dans le palais, et tentèrent d’assassiner notre souverain. Je réagis rapidement, et attirais toute la horde à l’extérieur du palais. Pensant m'en sortir toute seule, j’avais interdit à tout autre soldat de m’accompagner : l’empereur avait besoin d'être protégé.
Je combattis avec courage, me souvenant des instructions de mon tuteur, lorsqu’il me faisait part de ses connaissances et de son expérience. Mais cela ne suffit pas. Je perdis connaissance quand cinq lames katanas traversèrent mon torse et qu’une multitude de kunais et shurikens vinrent se planter dans mon dos.

Je ne me souviens pas de ce qui se passa après. Je crois juste avoir aperçu mon tuteur : il me racontait une des nombreuses légendes du Japon. Celle-ci parlait d’un loup, résidant dans un lointain pays nordique...
Je revins à moi dans une pièce sombre et poussiéreuse. Je me souviens encore de la douleur que je ressentais, mon dos et mon cou semblaient avoir été tordus dans tous les sens et ma gorge était aussi sèche que du charbon de bois. Je me relevais avec difficulté, avant de me rendre compte que j’étais complètement nue. J'examinais les lieux, et réalisais bientôt que j’étais enfermée dans un tombeau... sans nourriture ni eau.
Pendant ce qui me sembla une éternité, je cherchais une sortie. J’ai erré, cherché, creusé sans trouver le moindre trou, le moindre interstice où pourrait se faufiler une souris. Je ne sais pas combien de temps j'étais restée inconsciente, perdue entre la vie et la mort, mais j’estime le temps que je mis à me frayer une sortie vers l'extérieur à une semaine… Je m’étonnais d’être encore en vie, et de pouvoir même seulement bouger, alors que je n'avais rien mangé ni bu. Voilà comment je me découvris une incroyable résistance physique et une endurance que je n’aurais jamais soupçonné.

C’est le jour de ma sortie qui me choqua. Le paysage était boisé lors de mes premiers pas et je déambulais nue dans les feuillages en espérant retrouver mon empereur, quand un bruit étrange parvint a mes oreilles. Je levais les yeux, et c’est alors qu’un objet volant se montra. Je pris peur et m’enfuis en courant jusqu'à ce que mes pieds percutent un sol très dur et gris. Je regardais partout autour de moi. Tout avait terriblement changé.
Des hommes s'approchèrent de moi et me demandèrent ce que je faisais ici. Ils portaient des vêtements étranges, mais ne semblaient pas agressifs. Je les suivis dans une demeure où ils m’offrirent des vêtements. La femme de la maisonnée me dévoila la date et l’endroit où je me trouvais : le 28 juillet 1944, dans une ville nommée Hiroshima. J’avais beaucoup de mal à le réaliser et à m’y habituer, mais il semblait que j’avais passé plusieurs centaines d’années à dormir.
Cette femme tout à fait accueillante et sympathique, m’expliqua brièvement les raisons de de la guerre que subissait le pays, et qu’elle trouvait injuste et irraisonnée. C’était la première fois que j’entendais ces mots : « France » , « Amérique » ou encore « Allemagne nazi » . J'appris ainsi l’histoire du monde à partir du moment où j'étais "morte", et en échange je donnais à mon hôtesse les détails sur un Japon féodal bien lointain.

En remerciement pour leur accueil et leur soutien, je me promis de rester dans cette famille modeste, jusqu’à ce que je puisse m’acquitter de ma dette. Je restais donc une année dans cette maison, pendant laquelle je continuais mes recherches sur mon père.
Mes efforts furent finalement récompensés, puisque je découvris l'existence dans la France du XVIIème siècle d'un monstrueux loup qui ravageait les campagnes... Mon père, peut-être ? Et si c'était lui, peut-être s'y trouvait-il toujours ?

Vint enfin le six août 1945. Pour la famille pacifique dans laquelle je vivais, cette journée s'annonçait comme les autres. Mais alors que la population d’Hiroshima s’éveillait et que les enfants entraient en classe, un avion passa au dessus de nos têtes. Il s’ensuivit un sifflement aigu. J’eus juste le temps de lever la tête, avant de planter mon poing dans le sol pour m’enfoncer dans la terre et laisser une épaisse barrière de feu m’entourer. Un bruit déchirant puis…
Le feu s'est éteint et je me suis relevée. Autour de moi, des cris immondes, et des visions immondes. La chair de ces habitants, des hommes, des femmes, des vieillards et des enfants, leur chair était à vif et semblait même fondre. J’entamais alors une course folle vers l’habitation de mes hôtes, mais à la place de cette maison, ne ce trouvait qu’un tas de cendre et de gravats.
Tout autour de moi n’était que mort et désespoir, si bien que je décidais de fuir très loin. Les radiations avaient tué beaucoup de gens, mais à ma grande surprise, j’étais indemne. J’appris plus tard que les radiations avaient eu sur moi un effet inattendu : elles avaient effacé la quasi-totalité de mon aura démoniaque. Je pris ma forme de louve pour mieux fuir et me cacher… s’ensuivit quelques mois d’errance… Après ces quelques mois, je m’installais à Tokyo et trouvais un travail dans une entreprise - le temps de rassembler assez de fond pour un voyage en France.

Deux années de travail acharné passèrent, où je combinais travail et recherche de mon paternel. Lors de ces deux années, je rencontrais mes premiers contacts démons, afin d’en apprendre plus sur cette race dont je faisais partie, et dont j’ignorais tout.
J’arrivais enfin en France, en toute discrétion. Je rôdais près de la forêt du Gévaudan, où mon père avait vécu il y a des centaines d’années. Lorsque les gens des alentours commençaient à avoir des soupçons sur moi qui ne vieillissait pas, je changeais de région.
Petit à petit, je remontais vers le nord pour enfin arriver à Paris, une ville bourrée d’activité démoniaque. Heureusement pour moi, mon aura démoniaque était toujours quasiment indécelable - conséquence malencontreuse des radiations atomiques d'Hiroshima.

Le lendemain de mon installation, je regardais par la fenêtre le paysage parisien, très mouvementé de nuit. Jamais je ne l’avais senti aussi près… Poussée par un instinct incontrôlable, je me dirigeais dans les rues sombres de Paris. Mes pas me guidaient sans faillir à travers les rues sombres et sinueuses.
Puis j’arrivais dans un ruelle particulièrement noire et étroite. Sans hésiter, je m’y enfonçais, comme attirée par un appel imperceptible. C’est alors… que je trouvais enfin ma raison de vivre.
Étendu sur le sol, un homme inconscient gisait. Sa respiration était faible et son sang était généreusement répandu sur le sol. Je m’en approchais, et découvrais son visage. Je n’eus besoin que d’une seconde pour reconnaitre cet homme que je n’avais jamais vu. Je n’avais ni besoin de l’entendre répondre à mes questions, ni besoin d’une quelconque confirmation : je le savais, mon sang me le criait : c’était lui mon père, et je l’aimais.

Je le portais jusque dans mon appartement, et passait la nuit à ses cotés, veillant sur lui comme sur ce que j’avais de plus cher, et soignant chacune de ses plaies comme si la moindre petite griffure aurait pu lui être mortelle. Je m’étais retenue toute la nuit, résistant à ce visage sublime, si bien qu’à l’aube, je ne me sentis même pas m’approcher de lui, et ne contrôlait pas ce baiser volé, juste avant qu’il n’ouvre ses yeux pourpre sur moi. Son regard me fit frissonner - un frisson agréable qui me fit sourire. Lorsqu’il me demanda mon identité, je ne réagis pas immédiatement. Je m’étais attardé sur le son grave de sa voix si agréable, et à ce moment, je compris ce qu’avait put ressentir ma mère en le voyant.
Par la suite, nous avons discuté de ce qui s’était passé le soir précédent. J’apprenais que mon père avait connu Eden en personne et l’avait servie. Je ne l’enviais en aucun cas, mais l’admirais. De plus, il avait survécu à un combat contre le grand Bélial, le Prince des Mensonges que tant de démons craignaient... Il était vraiment merveilleux. Le matin-même, je lui jurai fidélité. Il ne semblait pas très d’accord, mais j'insistais, lui promettant d’être le plus agréable possible et de faire tout ce qu’il dirait à la lettre. Il finit par accepter.

Nous apprîmes bientôt l’enfermement de Rhaziel, ainsi que la mort de d’Eden. Je m’en moquais, seulement mon père - je pouvais enfin prononcer son nom : « Fenrir » - semblait particulièrement affecté par la disparition de l'Impératrice des Enfers, et cela m’attristais. Durant les mois qui suivirent, nous ne nous quittèrent plus, à ma plus grande joie. Nous vivions en cohabitation, et même si je n’avais souvent droit qu’à son indifférence, être utile à celui que j’aimais me suffisais. De son côté, Fenrir ne pouvais admettre la mort d’Eden, et continuait à la chercher sans s’essouffler - contraint cependant de passer une grande partie de ses journées dans la peau d’un chien pour rester inaperçu.
Je ne savais pas pourquoi, et je ne posais pas la question, mais Fenrir décida un jour de se rendre à Los Angeles, et bien évidemment je le suivis. Nous nous créâmes une identité afin de passer inaperçu dans cette ville remplie d’humain, mais aussi d’anges et de démons. Fenrir me disait toujours de rester le plus discrète possible, et de ne laisser mon aura ne paraître en aucun cas.

J’étais tellement heureuse à ses côtés, et puis, j’étais fière de le servir. Nous habitions dans un petit appartement miteux du quartier asiatique de Los Angeles, mais Fenrir ne semblait pas toujours à l’aise avec moi. Il semblait même que, contrairement à moi, il était très pudique, et dormait toujours sur le canapé depuis ce soir où j’ai voulu passer la nuit à ses côtés. Mes intentions étaient tout à fait innocentes, mais le fait que je dorme nue semblait l’avoir perturbé...
Je lui avait déjà dévoilé notre lien de famille, mais cela ne semblait ne rien avoir changé pour lui. Dans les débuts, je tentais de communiquer avec lui, puis j'appris à l’écouter et l’écouter seulement. Aujourd'hui, je me contente de lui obéir, en faisant tout ce qui est possible pour lui être agréable... soit : ne parler que lorsque qu’il le demande, et faire en sorte que ma présence ne le dérange pas.

Son seul désir est de retrouver Eden, et je ferais tout pour le rendre heureux.

• Relations

{ Vincent Valentine } - Le démon loup à beau être son père, et se montrer plutôt froid envers elle avec de rares moments de complicité, Shokusai en est tombé follement amoureuse lors de sa première rencontre avec le beau ténébreux. Elle lui a juré fidélité, et est prête a tout pour lui... Bien que ce ne soit vraiment pas au goût de Fenrir.

{ Irvy } - Shokusai n’a jamais rencontré l'ex-Impératrice en personne, mais elle en a beaucoup entendu parler. Elle ne la déteste pas à proprement parler, c'est juste qu'elle ne partage l'admiration qu'à son père pour elle. Au fond, Eden ne représente rien pour Sho : elle ne la reconnaîtrait certainement pas si elle la croisait et ne lui montrerait pas plus de respect que pour une autre personne. Cependant, la démon louve l'envie, car Eden a ce qu'elle-même n’aura jamais : le regard de son père.

• Hors RP

• Âge hors-RP :: 15 ans (presque 16 ).
• Joueur ou joueuse ? :: Joueuse
• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? :: Un peu plus de 2 ans.
• Comment avez vous connu le forum ? :: Par Duky.
• Suggestions pour le forum :: Ouvrir un club des « Fan of Fenrir » ^^
• Autres commentaires :: Vive les douches !!!! Bien chaudes et bien remplies ^^ Et... we love Fenrir <3<3<3
• Personnalité de l’avatar :: Tifa Lockheart (Cosplay Final Fantasy VII).
• Code du règlement ::

Spoiler:

PS :

pas

EDIT 1 :

EDIT 2 :

EDIT 3 :

Youpiiiii Titine l'est validééééée !!!!

Maintenant... Au pied ! ange

Ouaiiiiis !!!! ^^ Bienvenue ~~moi~~ heu... bienvenue Sho !!!!!!

Bienvenue Sho, au plaisir de te croiser en RP Wink

Une de plus à ~~manger~~ tuer biggrinking

Cela dit, faudrait bien que je finisse ma fiche un jour ^^'' (Promis, je poste la deuxième partie ce soir XD)

EDIT : Ah dommage, j'avais oublié que tu étais une Renégate... cry

* Se console en grignotant un morceau d'os "emprunté" au bras de Rhaziel *

Pas touche à mon bras le minou si tu veux pas finir en barbecue !!!!!! mad

Voyons, pour Aker c'est une marque d'affection Rolling Eyes

Et vi renégate, non pas du côté des renégats mais seulement du côté de mon Fenfen chéri adoré vénéré que j'aiiiiiiiiime love

Vive mon Fenfen !! kao14

Oui je suis bel et bien une groupie ! ^^

Une "marque d'affection" ?! God, Valentin, sort de ce corps !!! xD

Bah oui... Selon une logique Akerienne, "Grignoter l'os de son bras" = "Sauver le bras de Rhaziel" = "À mort Asphelion" XD

Ha ouaiiiiiiiiiiis XD Bien trouvé !
Allez, tous sur le bras de Rhazinounet ^^ A table !

Ça va finir en Barbecue Géant !!!!

devil15

Yay ! La viande humaine est encore meilleure quand elle est bien carbonisée cheers

J'apporte la bière, amenez la viande... devil9

Mais enfin c'est pour t'aider !!! ^^ Allez si tu es sage tu auras le droit de prendre une douche avec qui tu veux !!!

Sauf avec moi ! Mais sinon oui accepte notre aide, je me ferais une joie de te le trancher sans le faire souffrir... Du moins du mieux que je le peux... devil4

Ouais c'est vrai mon bras il est très utile... Surtout pour Eden...

ALORS PAS TOUCHE LES BESTIAUX !!!!!

Je veux pas savoir ce qu'il fait à Eden avec son bras !!!!!! >.<

La même chose qu'avec toi dans la douche ? Rolling Eyes

Ho la veinarde ^^

» Béate Da Corello ۞ Glorificus - Démone antiquaire
» Fenrir : An Eden's Servant - Démon Renégat