Fenrir : An Eden's Servant - Démon Renégat

• Fiche d'Identité

• Nom :: Fenrir.
• Surnom(s) :: Essayez de lui en donner un pour voir...
• Âge :: Né en 612, soit 1397 ans. En apparence on lui donne la vingtaine.
• Statut / Occupation :: Démon renégat, serviteur d'Eden - Chien ce compagnie.
• Signes particuliers :: Fenrir a la capacité de se transformer en un puissant loup noir, fier et majestueux. De plus, il a également un don d'hypnose. Le démon combat aussi bien sous sa forme de loup qu'avec des armes à feu.

• Physique

Sous sa forme humaine, le démon parait plutôt jeune, on lui donne souvent 25 ans, tout au plus. Il possède un charme et une classe naturelle dont il aime se servir à volonté, aussi bien pour ses plaisirs personnels que pour ses missions. En effet, il attire facilement ses proies grâce à son regard hypnotique couleur sang, et son corps svelte et légèrement musclé déplait peu. Son teint pâle et ses joues creusées par la faim et l'errance lui donne un aspect vampirique inquiétant et intriguant à la fois, et ses cheveux d'un noir ébène ne font rien pour casser ce portrait mystérieux. Fenrir n'est pourtant pas spécialement grand, restant dans la moyenne du haut de son mètre soixante-dix huit, mais cela ne l'empêche pas d'être à peu près respecté.
Quand il devient loup, il fait deux fois la taille d'une bête normale. Ses crocs sont suffisement aiguisés pour arracher une main ou broyer un bras en forçant un peu. Son poil, aussi noir que ses cheveux, est épais et plutôt long, lui permettant d'endurer des températures froide sans encombre. Ses yeux deviennent orangés, à mi-chemin entre le rouge et l'ambre. Pour ce qui est de son corps... Ses pattes sont puissantes, habituées aux longues courses, mais malgré sa musculature plus prononcée, il reste assez maigre pour un loup.

• Caractère, Psychologie

On dit des loups qu'ils vivent toujours en meute, et sont très solidaires entre eux. Ce n'est pas tellement le cas de Fenrir. Il est très distant envers toutes les races, ne parlant que lorsque c'est nécéssaire ou qu'on lui demande son avis. Généralement, cela n'excède pas une phrase ou deux. Il n'aime pas la foule et la technologie moderne, préférant largement des étendues vastes et hostiles, là où il sera seul. Cruel et froid, il n'aidera jamais quelqu'un dans le besoin, sauf peut-être en lui abrégeant ses souffrances. Il déteste la compagnie des hommes, les jugeant irresponsables, idiots, puériles et inutiles. Ce n'est pas lui qui se priverait d'un massacrer un ou deux. Cependant, il se montre très protecteur, voir parternel avec les loups, qu'il considère comme ses frères. Il préférera mourir que de laisser un canidé se faire tuer devant lui, mais ne cherche pas à rejoindre de meutes en particulier. Pour ce qui concerne les anges et les démons... C'est du pareil au même, il ne les aime pas, mais se montrera tout de même plus docile avec sa 'race'. Il est tout de même attaché à certaines personnes, notamment les métamorphes ou la démone à qui il a prêté serment... Il est fidèle, et jamais il ne trahira une parole qu'il a donné, sauf s'il en reçoit l'ordre de la personne à laquelle il est totalement dévoué. Manipulateur, il ne se gêne pas pour user de ses dons d'hypnose pour charmer ses victimes, récolter ses informations, puis les tuer. Le tout sans aucune pitié quelconque.

• Histoire, Passé

L'odeur du sang, la fraicheur de la neige, la carresse du vent, la sensation de puissance... C'est pour tout cela que j'aime chasser, et bien plus encore. Sentir la détresse de son gibier, l'entendre accélérer pour échapper à la mort, qui y a-t-il de meilleur ? Le caribou tente vainement de m'échapper en gravissant une pente enneigée, mais c'est peine perdue. L'idiot s'est condamné en faisant cela, car il ne m'a pas fallu longtemps pour me retrouver à sa hauteur et lui sauter dessus. D'un coup de dents, j'agrandis la plaie déja bien ouverte de son cou, laissant la bête s'écrouler au sol avant de rendre l'âme. D'un coup de patte, j'arrache la peau qui m'empêche d'accéder à l'estomac, puis je plonge mon museau à l'intérieur du ventre pour me nourrir des entrailles encore chaudes et fumantes de cette chasse fructueuse.

Des hurlements se font entendre. Je les reconnais aussitôt, ce sont ceux d'une meute... J'arrache un morceau de muscle avant de battre en retraite, je n'ai pas envie de batailler pour de la viande ce soir. Surtout ce soir. D'autant plus que mes pattes me font souffrir à force d'avoir autant couru, la chasse a été longue et épuisante. Je regagne rapidement ma tanière, évitant au passage un affrontement avec un ours énervé. Demain, je vais encore devoir reprendre cette forme lassante et lente... Car je dois aller dans le Monde du Dessous. Toujours dans le même but, trouver vainement ma place, et détruire celui qui m'a donné le jour. Cet homme m'a condamné à une existence solitaire, sans cesse rejetté et attaqué par mes frères car je ne suis qu'à moitié loup. J'ai en moi la même cruauté, mais aussi la même intelligence, c'est sans doute pour cela que je suis encore entier et en vie cette nuit.

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Je suis lent... Je ne marche que sur deux pattes, je n'entend rien, je ne sens rien, je ne vois rien, bref, je ne supporte pas cette apparence... Mais je préfère ne pas reprendre mes quatres pattes ici... Il y a trop de démons étranges et effrayants pour que je prenne le risque d'être plus petit qu'eux. Dans ce royaume de cruauté et de sadisme, on est jamais trop prudent, un couteau sous la gorge est vite arrivé. C'est pour cela que je déteste les démons. Ils ne sont solidaires entre eux que lorsque leur intérêt est en jeu. Ils sont lamentables, lâches et faibles. Et dire que je suis l'un d'eux... Je lâche un soupir agacé, reprenant au même point mes recherches. C'est à dire pister les centaines de milliers d'odeurs puantes de Pendémonium. Pourquoi est ce que je fais tout cela ? C'est pourtant simple, c'est la vengeance qui m'a permis de survivre jusqu'ici. C'est l'envie et le besoin de tuer, de massacrer, d'arracher la vie à cet être ignoble qui me pousse à continuer. Pourquoi je le hais ? Cela me semble évident pourtant : une louve, un démon. Ma mère, elle, n'avait rien voulue. Elle ne m'avait pas voulu. Si jamais quelqu'un ne trouve pas ce genre de relation contre nature, je lui broie sa colone vertébrale sur le champ.
Sur le chemin, je croise Freya. Cette femme est probablement une des seules personnes que je suis capable d'apprécier. Elle suit l'instinct de survie le plus basique, n'ésitant pas à trahir ses proches, mais cela ne me gêne pas. Nous sommes tous deux issus des terres glaciales du Nord, alors nous savons qu'il ne faut compter que sur nous même. Elle me parle souvent de la démone qui l'a créé, mais je n'ai jamais pu la rencontrer, ni même la croiser. Cette femme m'intrigue...

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Il fallait bien que je retourne à la surface à un moment ou à un autre. J'ai abandonné depuis longtemps l'idée de me venger, voyant que je n'aboutissais à rien. Quitter un peu le Monde du Dessous me changera les idées, j'en ai assez de la vermine, bien que les humains ne soit pas vraiment mieux, ils sont plus faciles à manipuler et à tuer. J'ai fini par échouer en France, ce pays ne m'intérresse pas plus que les autres, mais il fallait bien que je m'arrête un jour. Et mes frères y sont nombreux. Chassés, mais nombreux. Je compte d'ailleurs remédier à cela. Puisqu'ils tuent mes frères... Je les tuerais également.

Une gamine emprunte le sentier creusé par les passages inscessants des animaux et des hommes, chantonnant joyeusement. Je prend mon élan, puis relêche mes muscles tendus en bondissant de ma cachette, tous crocs dehors. Elle pousse un hurlement tandis que je la fait basculer au sol. Elle se débat, me frappe, appelle à l'aide, mais personne ne l'entend. D'un coup de crocs, je lui arrache la jugulaire, laissant le sang se répandre sur le sol. Mes frères se nourriront de sa chair comme bon leur semblera, ce n'est plus mon problème. Les hommes la retrouvent malheureusement trop vite, et ils nous donnent la chasse.

Un par un, ils tombent sous nos attaques. Désormais, nous sommes en guerre. Le Roi envoie ses meilleurs chasseurs pour m'abattre, moi, la plus grande menace des hommes et de leurs troupeaux, mais sans succès. Plusieurs fois il pensent me toucher avec leurs armes, mais c'est la vie de mes frères et soeurs qu'ils prennent.

Ils pensent m'avoir abattu, mais ce n'est qu'un autre loup qui est tombé. Ils sont tellement effrayés qu'ils nous tirent dessus à vue d'oeil. Ils font tout pour me tuer : battues, prières, cérémonies religieuses, chasses, pièges... Rien n'y fait. Les pauvres, je les plaindrai presque d'être aussi idiots. Seulement, je ne peux plus continuer ainsi. Je ne fais qu'envoyer mes frères à l'abattoir en voulant détruire ces humains ridicules et lassants.

Un dernier hurlement qui résonne, un dernier adieu que m'adressent mes frères et mes soeurs. Ils vivront cachés dans les forêts, je ne m'inquiètes pas de leur sort. Nous sommes doués pour la fuite et pour nous fondre dans le paysage... Moi, je retourne en Enfer, je m'y sens finalement plus à ma place. Et mes anciens amis me manque... Enfin, un peu.

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Le serpent crache un torrent d'étincelles enflammées, brûlant mes poils et ma peau au passage. Fatak se déplace avec une agilité propre à sa forme fourbe de serpent, et ses crochets passent sans cesse à quelques millimètres de ma gorge. Il est vraiment doué pour les coups en traîtres. Nous nous détestons mutuellement, et il fallait bien que cet affrontement aie lieu un jour ou l'autre. Je tente de mordre la seule partie qui demeure à peu près froide de son corps, mais le serpent me prend de vitesse et enroule son corps enflammé autour de moi. Je sens ma chair griller à son contact, m'arrachant un hurlement de douleur. Je tente d'échapper à sa prise, mais c'est peine perdue, Fatak est bien plus puissant et rapide que moi... Et a cause de mon stupide honneur, je vais me faire massacrer ici même. Le serpent dévoile ses crochets aussi longs que ma patte, avant qu'il ne fonce sur moi. Je ferme les yeux, je n'ai pas le courage de voir ma mort arriver aussi clairement. Quitte à mourir, autant que ce soit dans l'ignorance de mon châtiment. Les secondes passent... Rien. J'ouvre un oeil pour tomber nez à museau avec un crochet qui est à une dizaine de centimètres de ma tête, recouvert d'une couche épaisse et solide de glace. Tout ce qui me retenait est également glacé, et je réussis à me dégager d'un coup de patte, retombant lourdement au sol. Je tente d'apercevoir celui qui m'est venu en aide, mais je ne vois que de longs cheveux d'un blanc immaculé, appartenant à un corps svelte et gracieux, s'éloigner avec une démarche élégante et féminine... Le serpent gelé s'effondre et se brise, ne laissant plus qu'une infinité de poussière glacée.

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Je n'ai pas frôlé la mort à proprement parlé, j'ai juste évité que deux crochets ne s'enfoncent dans ma chair... Mais c'est plus difficile à expliquer quand vous vous retrouvez le corps recouvert de brûlures. Freya me force à dire la vérité, faisant chuter la température avec sa mauvaise humeur. Je ne répond pas. Mieux vaut ne pas l'énerver d'avantage. J'ai beau me tuer à lui expliquer que de toute façon je ne serais pas mort - bien que ce soit un pur mensonge - il n'y a rien à faire, elle ne me croit pas. Et elle a raison.
Je lâche un baillement sourd, laissant ma queue heurter le flanc de la démone, ce qui l'énerve encore plus. Une brûlure glacial me fait sursauter, et je vois le bout de ma queue recourvert de gel. Je la secoue encore plus fort pour chasser ce glaçon horriblement douloureux et génant, mais le regard froid de Freya fait stopper le balancement incessant de ma queue... Je vois bien qu'elle est tendue, peut être qu'elle était inquiète pour moi. Je pense que je serais dans un état de colère bien plus prononcé si ma petite mésaventure lui était arrivé.
Je reprend finalement ma forme humaine pour essayer d'obtenir plus d'informations sur cette démone aux cheveux immaculés. Je finis par apprendre qu'il s'agissait en fait d'Eden, celle qui avait créé Freya. Une idée me vient alors en tête : je suis redevable à cette femme. Sans elle, je ne serais plus qu'un cadavre calciné et puant, dévoré par les vers et toutes autres charognards.

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Mon corps lent et humain s'incline devant Eden, sans pour autant oser la regarder dans les yeux. Chez les loups, c'est une marque de respect que de ne pas fixer le regard de son vis à vis, mais je doute qu'elle comprenne ce message. J'ai une dette envers cette femme. Qu'elle fasse de ma vie ce que bon lui semble, je lui appartient. Désormais, je serais à ses ordres. Je la servirais jusqu'à ma mort, pour la remercier de m'avoir laissé la vie.

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Prendre le trône ? Se rend-t-elle seulement compte du danger que cela représente ? Vu son air grave, il me semble que oui. L'idée me m'enchante absolument pas, mais je l'aiderais à faire ce qu'elle souhaite. C'est mon rôle, et ma raison d'être. J'aquiesce à sa demande, du moment qu'elle reste en vie, je la suivrais et combattrais à ses cotés. Une dette est une dette, et je me suis attaché à cette femme.

Le coup d'état est un succès parfait, Eden est maintenant au pouvoir, et la guerre contre les armées de Rhaziel est en plein commencement. Le théatre de ce spectacle se déroule une nouvelle fois en France. Ce n'est pas plus mal, j'ai déja une idée du terrain. Eden semble me faire vraiment confiance maintenant, elle me confie de plus en plus de missions et de recherches, cela me flatte, je ne pensais pas lui être aussi utile un jour.

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Jurer fidélité à Bélial... Elle me demande vraiment l'impossible... Mais je m'incline, et lui obéit. Je n'ai vraiment pas envie d'exécuter ses ordres, mais en même temps, je reste son serviteur. Elle a besoin d'informations au sujet du Prince des Mensonges, et je compte lui en donner. Je retrouve Bélial et lui offre mes services, mais le fourbe a déja flairé le piège. Ce qui était autrefois un théatre devient vite un tas de cendres et de ruines fumantes, et notre combat est de plus en plus violent. Je me défend comme je peux, mais j'ai le sentiment de ne rien pouvoir faire, d'être faible et impuissant contre lui. J'arrive à peine à le blesser, alors que moi... Je suis déjà en sang, et chaque mouvement me fait souffrir. Je ne peux me permettre de mourir maintenant, pas alors que ma maîtresse a besoin de moi. Une seule solution s'offre à moi, et cela me répugne de devoir l'utiliser. Je m'enfuis lâchement, la queue entre les jambes, laissant derrière moi un Bélial ravi et triomphant. Je le déteste. Je me vengerais un jour, et je sentirais son sang inonder ma gorge et mes pattes.

Je m'écroule dans une ruelle, sentant le peu de sang qu'il me reste quitter mon corps... Je ne suis plus qu'une carcasse à moitié morte et vidée de ma substance vitale... Peu à peu, je sens ma vie me quitter, tendis que je sombre dans l'inconscience, persuadé de ne jamais me réveiller.

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J'ouvre lentement les yeux, suffisement pour voir une jeune femme brune à mes cotés. Qui est-elle ? La question franchit d'elle même mes lèvres, et elle met un certain temps à répondre. Shokusai. Son visage me dis vaguement quelque chose, mais je placai cela sur le compte de mes blessures... Qui semblaient pansées. Je ne me sens pas spécialement à mon aise ici, mais cette jeune fille dégage une odeur qui m'est familière. Elle est un loup. Je lui raconte rapidement mon histoire pour répondre à ses questions, et elle semble émerveillée au sujet de ma fidélité envers Eden. Tant mieux, je n'aurais pas à la tuer pour la réduire au silence. Elle ne perd pas une seconde pour me jurer fidélité, mais je n'en veux pas. Elle m'a peut être aidé, mais je suis déjà dévoué à Eden, je ne compte pas m'embarrasser d'un fardeau féminin... Elle insiste tellement que je finis malgré tout par accepter, à contre coeur. Je lui dois la vie... Rien que pour cela je me dois d'accepter.

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Eden et Rhaziel sont morts... Je ne peux le croire. Je ne dois pas le croire. Eden ne peux pas mourir. Même Maëlys, qui faisait partie des Frères du Salut, est tombée... Dieu et Satan ont reprit leurs trônes respectifs, mettant fin à la guerre. Seulement... Qu'allons nous tous devenir, nous, les combattants des jumeaux ? Notre sort est simple, nous allons tous être exterminés un par un. Anges et démons traquent ceux qui autrefois étaient leurs amis, obéissant aux ordres des deux puissances célestes. Nous ne sommes plus rien. Pourtant, je continue de chercher une trace quelconque d'Eden. Je refuse de croire en sa mort. Elle est bien trop puissante pour mourir. Etant de plus en plus traqué, je finis par me réfugier dans le corps d'un labrador noir. Ce chien est jeune, son corps n'est pas aussi musclé que le mien, mais il fera l'affaire. Je ne compte pas le conduire à la mort.

Par la même occasion, je finis par apprendre le lien qui nous unissait, Shokusai et moi. J'étais son père. Je me souvenais de ce visage a présent. Sa mère était une femme magnifique, et je m'étais laissé attendrir le temps d'une nuit. Suffisament pour l'enfanter. Qu'importe, je ne compte pas me montrer plus proche avec elle qu'autrefois.

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Los Angeles. Des tempêtes de neige font rage, le climat est devenu hors de contrôle, des meurtres suspects et des disparitions qui ne font qu'augmenter... C'est le signe que j'attendais depuis maintenant deux longues années, toujours dans ce corps de chien. Shokusai et moi nous rendons à la Cité des Anges, et c'est d'ailleurs grâce à elle que j'ai pu y aller avec autant de facilité. Maintenant, je remplis mon rôle de chien de compagnie, mais je recherche toujours la présence de ma véritable maîtresse. Bientôt, je le sens, je pourrais enfin me battre sous ses ordres...

La guerre n'est pas terminée.

• Relations

{ Tifa Lockheart } - Le démon loup à beau être son père, et se montrer plutôt froid envers elle avec de rares moments de complicité, Shokusai en est tombé follement amoureuse lors de sa première rencontre avec le beau ténébreux. Elle lui a juré fidélité, et est prête a tout pour lui... Bien que ce ne soit vraiment pas au goût de Fenrir.

{ Irvy } - La relation qui lie Eden et Fenrir est simple : elle ordonne, il obéit, et cela convient parfaitement aux deux. Au fil des siècles, un lien plus puissant s'est créé entre le serviteur et sa maîtresse, bien que ce ne soit pas de l'amitié à proprement parler. Le démon loup recherche toujours autant sa supérieure, et il ne compte pas abandonner alors qu'il se trouve en plein cœur de l'affrontement entre renégats et Croisés.

{ Eva Green } - Autrefois bons amis, aujourd'hui les deux démons se détestent. Fenrir ne lui pardonne pas sa trahison, et compte bien le lui faire comprendre en lui ôtant la vie. Il se concentre principalement sur sa recherche, car ce n'est pas à lui de la tuer, mais dès qu'Eden sera de nouveau en état de se battre...

{ Djimon Hounsou } - L'entente entre Bélial et Fenrir est semblable à celle d'un chien et d'un chat : ils ne peuvent pas se voir. La haine que porte le démon loup au Prince des Mensonges est aussi réelle que profonde. Il ne vaut mieux pas les voir tous les deux dans le même endroit, sous peine qu'un combat violent et meurtrier se déclenche entre eux.

• Hors RP

• Âge hors-RP :: 16 ans.
• Joueur ou joueuse ? :: Joueuse.
• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? :: Deux ans normalement.
• Comment avez vous connu le forum ? :: Via Jeremy Hawkins.
• Suggestions pour le forum :: Qu'il soit toujours aussi bien ^^
• Autres commentaires :: L'est ou ma maîtreeeeeesse ?
• Personnalité de l’avatar :: Vincent Valentine (Cosplay Final Fantasy VII).
• Code du règlement ::